Cuando se conoció la noticia de que en Perpiñán se iban a organizar unas 24 horas de marcha en noviembre, pocos fueron los que mostraron alegría por contar con una nueva prueba. Algunos incluso anunciaron ya que no pensaban ir ni aunque los matasen. El funesto recuerdo de la Perpiñán-Barcelona de 2003 sigue todavía presente en la mente de muchos. Conclusión: menos de una veintena de marchadores en la línea de salida y entre ellos ninguno de los que podríamos considerar veteranos en esto de hacer más kilómetros de la cuenta. Incluso yo, que llegué a pensar en acudir, me quedé finalmente en casa tocándome los huevos. Al final pasó lo que tenía que pasar. La que sigue es la crónica que el segundo clasificado, Francis Gauzé, ha publicado en el foro de Marchons.com. Hasta los que no tengan ni idea de francés entenderán lo esencial.
En ce qui concerne ces 24h pas grand chose à retenir de positif bien au contraire: L'HORREUR TOUT SIMPLEMENT. Je ne suis pas du genre à critiquer par derriere mais là il faut vraiment que je le dénonce.Foto cortesía Marchons.com
Tout d'abord pas de place pour installer les tentes pas de point d'eau et douches, des toilettes communes homme et femmes dont l'état et la propetée n'invitent pas en s'en servir. Nous avions a effectuer un prologue de 13km dans la ville de Perpignan. Scénario catastrophe. Nous étions livré à nous même au milieu de la circulation. Nous devions attendre que les feux passent au rouge pour passer, des personnes se sont égarées et ont mis 3 h pour faire 13km car il n'y avait personne pour nous indiquer notre chemin et aucun fléchage sur la route, je me suis moi même perdu dès mon premier tour sur le circuit et jai mis 20mn pour retrouver mon chemin et tout cela dans une insécurité totale car nous n'avions aucun endroit du circuit qui était protégé de la circulation. Nous étions obligés de marcher sur les trotoirs, contouner les véhicules en stationnement etc et cela continua jusqu'à la remise des prix avec des discours interminables sans lien avec la marche. En ce qui concerne la compétition nous n'avons pas été aidés par la météo, du vent violent pendant la moitié de la course ne nous a pas aidé, nous étions des fois presque bloqués par les bourrasques. Par contre il y avait un super esprit avec tous les marcheurs, en particulier vivi et nos amis espagnols, surtout Clemente Eduard avec lequel j'ai marché pendant 14 h super marcheur très résistant et d'une surprenante régularité.
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